La femme guadeloupéenne occupe une place à la fois singulière et multiple dans le canevas social antillais dont elle connaît la trame et tisse les rapports humains, avec une épaisseur de sentiments et une profondeur d’investissement encore trop souvent remisées au revers de la scène sociale. Elle apporte la vie et « relie la vie à la vie» dans notre société, car elle est passerelle.